
Le Syndicat national des journalistes tunisiens a appelé, hier, dans un communiqué, à la libération immédiate de la journaliste Chahrazed Akacha qui vient d’être placée en garde à vue.
Charhraze Akacha est soupçonnée par le procureur de la République auprès du Tribunal de première instance de l’Ariana d’avoir « nuit aux tiers ou perturbé leur quiétude à travers les réseaux publics des télécommunications », en vertu de l’article 86 du code des télécommunications.
Le communiqué a rappelé que Chahrazed Akacha avait été auditionné, la semaine écoulée, après une plainte déposée à son encontre par le ministère de l’Intérieur et ce, sur fond de posts publiés sur son compte Facebook, dans lesquels elle a critiqué la gestion du département.